La fin de l’année 2008 n’aura pas été spécialement reposante avec Colin qui a la malchance de cumuler une poussée dentaire carabinée (et ce pendant près d’un mois pour sa première dent) et une bronchiolite avec une séance de kiné quasi-quotidienne depuis presque 3 semaines.
A la reprise de Marianne pas forcément aisée après près de 6 mois d’absence, début janvier, nous avons dû faire face à une sévère grippe de Gabriel qui l’a littéralement scotché pendant une semaine pleine… le tout bien entendu avec Ivan et Colin qui ont eu maille à partir avec ce virus… tant qu’à faire. Résultat nous avons jonglé avec le boulot.
La semaine qui vient de s’écouler n’a pas été plus calme, au point de devoir faire appel à une garde à domicile pour Ivan et Colin… avec un coût non négligeable… Mardi, mercredi, enfin une légère éclaircie avec deux journées normales…
Jeudi… super… on découvre sur notre bagnole familiale un gros problème sur le train arrière… nouvelle modification des plannings… fort heureusement, l’assurance va prendre en charge.
Week-end… allons nous pouvoir souffler ?
Raté… dès hier matin, Colin commence une gastro… point culminant cette nuit… plusieurs fois réveillés avec un petit bonhomme bien fiévreux (39-40). Avec toujours une bonne poussée dentaire pour sa deuxième dent, c'est plus rigolo... Au passage, on espère que cela n’a pas trop effrayé Olivier et Véro avec une soirée de ce fait un peu bousculée.
Ce matin ça commence à aller un peu mieux… on touche du bois, les deux grands n’ont pour l’heure aucun symptôme… mais rien n’est moins sûr pour demain.
Au fond, il y a une certaine analogie avec ce qui se passe dans le monde… avec la notable différence dans l’espoir de l’arrivée d’un homme providentiel à la tête de la première puissance en déclin…
Pour ma part, je n’ai jamais cru en un quelconque messie.
Comme début d’année, on a connu mieux, ici et ailleurs… enfin dans 15 jours nous prenons la direction du chalet familial dans les Vosges… pour respirer un peu, enfin on l’espère.
PS : je vous signale un bel article sur Michel Rocard ici