A l'heure où la diplomatie américaine est muette et où Condoleeza Rice s'est abstenue sur le vote d'une résolution du COnseil de Sécurité de l'Onu demandant un cessez le feu,
l'ancien président américain Jimmy Carter publie un témoignage dissonant sur sa visite dans la région fin 2008 et son appréciation de la (mauvaise) volonté israélienne dans envers les efforts de
paix. Quand on sait les liens qui unissent traditionnellement Washington et Tel-Aviv et l'extrême difficulté, même suite aux pires abus, des américaine à critiquer l'Etat juif, cette tribune
sonnerait presque comme la position d'un pacfiste illuminé. Un pacifiste qui dirigea la première nation du monde et permit les accords de Camp David...