La dernière affaire est édifiante : parce qu'il avait qualifié de "racailles" les élus de Puteaux qui venaient d'être condamnés pour diffamation à son égard, ceux-ci l'ont à nouveau poursuivi pour diffamation. Le mot de "racailles" n'était pourtant qu'une référence au terme utilisé par Sa Sarkozerie au sujet de jeunes de banlieue.
En fin de compte, après 1 an et demi d'instruction, l'ensemble des parties civiles de cette dernière affaire - les 37 élus UMP de Puteaux - se sont toutes désistées de leur action. La présidente de la 17ème chambre correctionnelle a donc définitivement clos le dossier.
Cela met fin à 4 années d'acharnement judiciaire de la mairie de Puteaux contre Christophe Grébert. Tout cela aura couté 100.000 euros au budget municipal. Et malgré tout, le blogueur aura gagné tous ces procès !
La liberté d'expression continuera donc à vivre, à Puteaux !