L’OMSQ redoute que la crise économique ne provoque une montée de l’anxiété et des maladies mentales et une augmentation co-relative de la consommation de tabac, d’alcool et d’autres substances nuisibles, comme cela est déjà arrivé dans le passé, d’où un risque de saturation des infrastructures publiques de santé.
Pour Madame Chan, la directrice de l’OMS, le risque de saturation des infrastructures publiques est réel, car en temps de crise économique, les gens ont tendance à se détourner du secteur privé de la santé pour recourir davantage aux services publics, déjà largement débordés et insuffisamment financé dans beaucoup de pays.
Toujours selon Madame Chan, dans les pays à bas revenu, la récession économique augmente le risque de voir des gens négliger leur santé et laisser de côté la prévention.