J’étais l’autre soir au théâtre français, on y jouait Beaumarchais, « Le mariage de Figaro ». Certes, on peut trouver les costumes d’époque, les décors d’un château à la campagne, chez un grand seigneur espagnol de la fin du XVIIIe siècle, un certain mélange de naturel et de masques un peu ringard. Foin des disdacalies, de nos jours ! Nous ne mangeons pas de ce pain-là, Monsieur ! On a donc beau jeu de remplacer les tenues d’époque par des survêts, des petites robes banales, mélangées à des tenues « belle époque » et des coiffures déjantées de today : c’est ça la modernité du théâtre, l‘éternité d’un texte...Lire la suite.
J’étais l’autre soir au théâtre français, on y jouait Beaumarchais, « Le mariage de Figaro ». Certes, on peut trouver les costumes d’époque, les décors d’un château à la campagne, chez un grand seigneur espagnol de la fin du XVIIIe siècle, un certain mélange de naturel et de masques un peu ringard. Foin des disdacalies, de nos jours ! Nous ne mangeons pas de ce pain-là, Monsieur ! On a donc beau jeu de remplacer les tenues d’époque par des survêts, des petites robes banales, mélangées à des tenues « belle époque » et des coiffures déjantées de today : c’est ça la modernité du théâtre, l‘éternité d’un texte...Lire la suite.