Mouaha. Ce morceau est un des plus grand classique du rock psyché. Du genre immanquable. Du genre, si vos parents vous ont pas fait écouter ça quand vous étiez jeunes (oui, je m'excuse auprès des personnes plus âgées qui tomberont sur cet article, mais je m'adresse de façon involontaire aux personnes de mon âge (la vingtaine)), et bien c'est une erreur. Parce que dans le genre claque sonique, j'ai un peu pris lourd, ce jour-là. Je m'en rappelle encore. Je téléchargeais encore sur Kazaa première version, j'étais donc en 3e. J'étais devant l'ordinateur familial, et mon père me conseil d'écouter cette chanson au nom à coucher dehors, dont je ne comprendrais le sens que plus tard : In-a-gadda-da-vida (In the garden of Eden, mais dis par le guitariste complètement saoul, ou stone), des Iron Butterfly.
Attention. Il vous faut 17 minutes de temps libre avant d'appuyer sur play. 17 formidables minutes. Mais vraiment. Je voudrais que vous lâchiez votre souris, et que vous ne fassiez qu'écouter.
Je conçois complètement qu'on peut ne pas accrocher, c'est du psyché, donc c'est pas pour toutes les oreilles. Mais quand même, pour celui-là, c'est du tout ou rien. Soit vous rentrez, soit vous sortez. Mais ça n'aura aucun intérêt de rester sur le perron.
C'est donc ce qu'on appelle un riff qui attaque, et qui rentre dans la tête, comme rarement. Et la basse aussi y participe.
Je ne peux pas faire de minutage pour un morceau comme ça, c'est impossible, alors, je vais juste parler...
Mais que dire, dans ce cas...
Que la prise de son est à chier ? Oui, bah oui.
Que le solo de batterie est incroyable ? Oui, bah oui.
Que la batterie bouge pendant le solo, et que c'est trop stylé ? Oui, bah oui.
Que le solo d'orgue est phénoménal ? Oui, bah oui...
Que ce morceau a une ambiance palpable ? Oui, bah oui..
Que la basse fait tout ? Nan, peut-être pas quand même !
Il existe une version single beaucoup plus courte, mais elle n'a pas la vigueur litanique de la version longue. En tout cas, je ne sais pas si vous accrocherez, mais j'aurais essayé...
Et pour le plaisir, un grand moment d'une grande série :