Le tapie est vide, l’inspiration aussi…
Je pense trop, à cette donne qui surviendra demain, au cartes qu’il faudra jouer pour abattre ce monceau de paperasse suffoquant en brelan de préavis, pôle emploi, résiliation, cartons, et adresses floues entre un chez moi passé, une chez moi futur et entre les deux : un squatte…
Deuxième tours et pourtant, je n’ai pas changer, toujours emprise à cette peur du changement amenuiser par l’amour et la paix intérieur et pourtant… je n’ai pas encore toutes les cartes en mains mais toujours ce besoin d'être à la hauteur de leurs espérances s’en jamais atteindre cette plénitude de l’aboutissement. Se greffe au flop notoire de ce début d’année, les mauvaises nouvelles familiales auquel il faudra faire face au plus vite pour être là pour ses gens que j'aime et qui souffre, les désagréments puérils de ses menaces violente qui s’étouffent sous la connerie de mes détracteurs. Les jeux sont fait, toujours toi, toi mon toit sans qui demain n’est rien et moi aussi... Plus de bluff, juste des cœurs à nus pour faire table rase des pics du passé pour que la belle paire que nous formons forme la suite logique de nos vœux les plus profonds… Rien ne va plus et tout vas bien…