Les commissions démocrates tenaient hier leur réunion générale de pilotage à Paris.
Nouveau projet, nouveaux espoirs, nouvelle ambition... Je souhaite très sincèrement que ces commissions aboutissent à un projet qui reflète l'expression militante. Mais qu'adviendra t il des membres des commissions frustrés dans l'avenir ? Ne seront ils pas ceux qui demain devront affronter la déception de ne pas voir leurs propositions reprises ?
Parce qu'un projet politique est fait de consensus entre les idées de ses auteurs, cela sera-t-il supportable pour l'intellectualisme latent au sein du Mouvement Démocrate ?
N'y a-t-il pas risque de dérive à se rencontrer à huis…