Si vous n’avez pas envie, ou pas les moyens … , de vous payer un trekking en Himalaya, de « faire » la Bolivie, l’Egypte ou la Thaïlande, si vous appréciez les plaisirs simples et la découverte approfondie de votre biotope, il y a une activité estivale qui devrait vous combler : la flânerie urbaine.
Mais attention, pas n’importe quelles flâneries ! Mais celles qui sont proposées par Pierre Corajoud soit à travers ses livres, soit guidées par lui dans le cadre de Lausanne estivale.
Pourquoi celles-ci et pas d’autres ? Pour plusieurs raisons qui tiennent essentiellement au regard que Pierre Corajoud porte sur son – notre – environnement et sur sa capacité à transformer en aventure la promenade urbaine ou campagnarde. La seconde raison essentielle à mes yeux est la capacité de cet «aventurier du proche» à transmettre à autrui son expérience de la ville et de ses chemins et passages de traverse.
Se promener avec Pierre Corajoud, c’est s’initier à ce qu’il appelle très joliment la «la balade lente, la flânerie, la philosophie déambulatoire».
Cette série de balades estivales se termine hélas bientôt, mais il est encore temps de participer à l’une ou l’autre d’entre elles ou d’en prévoir d’autres que vous trouverez sur le blogue de Pierre. Il est même encore temps de participer à une ballade à la carte à l’occasion de laquelle les promeneurs peuvent choisir plusieurs fois la suite de leur cheminement. Ce sera le dimanche 19 août, toujours dans le cadre de Lausanne estivale, départ à 10 heures devant l’entrée principale de la Cathédrale de Lausanne.
Comme j’’ai participé hier à la ballade de la tourelle je vous en livre quelques photos.