"Souvent l'on dit que lorsque tu te trouves au fond du trou, il ne te reste plus qu'à remonter, seulement on peut également creuser pour descendre plus bas". Pourquoi je raconte cela, moi, à c't'heure? Et bien ptêt parce que nono, un philosophe de l'estuaire (oui c'est moi qui l'appelle ainsi, mais chut il est pas au courant) est passé faire un ptit coucou ce matin et il avait comme d'habitude dans sa besace, tout un tas de réflexions sur la condition humaine dont celle citée en préambule de ma bafouille du jour. J'aime bien les pensées à la sauce nono, qui ne sont d'ailleurs pas toujours les siennes parce qu'il lit beaucoup et il adore citer par exemple en débarquant au moment du ptit dej. quelque barbu grec ou autre, ce qui, il faut l'avouer, demande parfois une certaine concentration de la part de ses auditeurs... Mais, il y a des réflexions qui interpellent tout simplement parce qu'elles arrivent à des moments où elles résument plutôt pas trop mal la situation. Et là, je parle tout naturellement aux humains présents dans la salle, vous connaissez forcément le sujet vous aussi, ou sinon "rassurez- vous" ça va venir très vite... un jour; Les problèmes, galères et compagnie, on sait quand ça commence mais des fois on en voit pas le bout, Ah! je vois bien que j'ai affaire à des connaisseurs et donc contrairement à ce qu'on voudrait bien parfois nous faire croire, histoire de nous rassurer sans doutes, on peut toujours aller plus profond ; Seulement l'aspect positif du truc, c'est qu'à force de creuser ,outre le fait d'attaquer la falaise , on risque de passer à travers et ainsi se retrouver en surface de l'autre côté! Heu! je suis pas sur d'être très clair dans mon propos mais bon! moi même parfois j'ai un peu de mal à me comprendre alors vous....j'imagine. Surtout que personnellement j'ai pas vraiment de preuves de ce que je raconte, vu que j'ai -encore- jamais rencontré de témoins à lampe frontale qui avaient fait le grand sot sur l'autre moitié d'orange et qui étaient revenus pour en causer! Mais bon, ö, vous pouvez me faire confiance de temps en temps, pisque je vous le dit...On va pas non plus passer la nuit là dessus, chacun, comme voudrait bien le prouver mon raisonnement miteux, ayant sa dose d'emmerdes, je ne vous pas pourquoi, je continuerais à vous casser les oreilles, les pieds ou la vue avec les miennes, même si ,je l'espère, vous ppréciez quand même la délicatesse du propos qui veut que je ne rentre pas dans les détails, cherchant plutôt à rester dans l'impression, ce qui me semble, pour le symbole, la solidarité et toutes ces manières tout aussi classieux et moins redondant que si j'avais, ici même, fait la liste des tracas du jour- ben oui vous auriez pu me dire "même combat" et du coup j'aurais pas pu m'étaler aussi longtemps, mais pas trop quand même sur le sujet, au risque de vous lasser, à bon, c'est déà fait ? désolé alors!
m'enfin scusez, je termine quand même, c'est au sujet de l'illustration accompagnant mes déboires du jour, on y parle de trou noir, seulement me dis-je, rien n'oblige , qu'un trou soit noir, faut ptêt pas exagérer non plus dans le morbide, on peut y mettre de la couleur, et celles qu'on préfère en plus, vous croyez pas vous? ... Ah bon! vous aimez bien le noir? pfffffffff!!! Bon ben alors j'enlève tout ce que j'ai dit...