Le dernier mouvement, celui que je préfère de cette symphonie que je préfère sur les sept écrites par Sibélius.
Pourquoi ?
Je l'ignore.
Sans doute à cause de son thème martial et en ostinato, qui souligne à merveille la texture orchestrale d'une rare somptuosité.
Ben, à vous de voir !
PS : les sept symphonies ont été éditées pour la première fois dans un triple CD du label Finlandia Records.