Et puis, il y a la longue liste des symptômes "classiques", qui tous convergent vers le diagnostic d'une victime d'inceste : manque d'énergie, mauvaise estime de soi, tristesse chronique, sexualité compulsive, voracité compulsive...
L'influence du psy sur le consultant n'est pas instantanée. Souvent la personne n'est pas immédiatement subjuguée. Au début, elle garde la tête froide. Alors, son ou sa psychothérapeute augmente la pression pour qu'elle surmonte son déni. C'est ça ou la porte : " Sinon...Voyez ! La porte. Pas de serrure, pas de clé, pas de gardien... Vous êtes libre de partir. "" À partir du moment où le psy lui promet la guérison, le ou la "soutenu" est prise au piège :
" L'envol, c'est la guérison, celles qui me font confiance guérissent plus vite, et plus vite on guérit, plus tôt la thérapie se termine. C'est aussi simple que ça." infuse le psy sans vergogne. Sinon : " ... mais si vous ne guérissez pas, vos symptômes vont empirer. " Le recours au double ou triple ou quadruple " moi ". L'hypothèse des personnalités multiples balaie l'illusion de l'enfance heureuse et de l'amour filial, dont se berce le ou la "soutenu"
"le ou la psy: Il se…