Adieu monsieur Berri ...

Par Epeople


C'était les des réalisateurs les plus populaires en France. Claude Berri est décédé hier lundi au urgence de la Salpétrière à Paris. Le dernier film que Claude a réalisé fût un carton ! Il s'agit de "Bienvenue chez les Ch'tis"

Voici la biographie que Wikipedia.fr lui a consacrée :

Né de parents juifs, son père était fourreur et sa mère ouvrière. Ils habitaient au n° 8 du passage du Désir, dans le 10e arrondissement de Paris. Il exercera brièvement le métier de son père mais suivra des cours de théâtre en parallèle.

Claude Berri a joué pour la première fois au théâtre dans les Mardi du Théâtre Caumartin, sous la direction de Jacques Pierre (devenu réalisateur de télévision) et Jacques Ruisseau. Il a interprété « le fils », dans Tchin-Tchin de, et avec, François Billedoux, au théâtre de Poche de Paris.

Il a gagné le concours « Naissance d'une Étoile », catégorie comédien, devant Jacques Ruisseau (feuilleton Le Temps des copains de Jean Canolle et Robert Guez, rôle du timide étudiant en médecine « Étienne Chantournel »), ce qui lui a apporté un rôle avec Henri-Georges Clouzot, au côté de Brigitte Bardot et de Jean Gabin, la jeune comédienne Marie Laforêt gagnant, pour sa part, le premier prix de ce concours, ce qui lui a apporté le premier rôle de Plein soleilRené Clément) au côté d'Alain Delon. (de

Considéré comme l'un des grands producteurs et réalisateurs de l'histoire du cinéma français, Claure Berri fut aussi un grand amateur d'art moderne et contemporain, auquel il dédia l'Espace Claude Berri, qui a ouvert ses portes à Paris le 21 mars 2008.

En 2004, Claude Berri devient président de la Cinémathèque française. Il démissionne en 2007 pour des raisons personnelles.

Il était le père de l'acteur Julien Rassam (1968-2002) et de l'acteur et producteur Thomas Langmann (né en 1972). Il est à noter que c'était un grand dépressif depuis le décès de son fils Julien.

Une de ses dernières apparitions publiques fut aux obsèques de Guillaume Depardieu, le 17 octobre 2008 à Bougival.

Dans la nuit du samedi au dimanche 11 janvier 2009, il est admis en réanimation au service des urgences neuro-chirurgicales de l'hôpital de la Salpêtrière à Paris. Souffrant d'un « hématome intracrânien » selon les précisions de l'hôpital[3], il meurt dans la matinée du 12 janvier 2009 des suites d'un accident vasculaire cérébral.