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La mort de "l'assassin d'Oradour-sur-Glane"

Publié le 14 août 2007 par Danielriot - Www.relatio-Europe.com

Le criminel de guerre nazi Heinz Barth, surnommé "l'assassin d'Oradour-sur-Glane" pour son implication dans le massacre commis en France par des SS à la fin de la Seconde guerre mondiale, est mort, a indiqué lundi à l'AFP le pasteur de Gransee, près de Berlin, où vivait Barth.

"Il est mort. Il avait 86 ans. L'enterrement aura lieu en septembre et je me suis déjà déclaré prêt à y présider, car tout le monde a le droit à un enterrement", a déclaré Heinz-Dieter Schmiedkte, interrogé par téléphone.

 L'ancien lieutenant nazi Heinz Barth avait été condamné à la prison à vie en 1983 en RDA pour crime de guerre et libéré en juillet 1997 en raison de son âge et de son état de santé. Au total, 642 civils, dont 247 enfants, avaient péri le 10 juin 1944 dans le village d'Oradour-sur-Glane, dans le sud de la France. Ils avaient été fusillés, noyés ou brûlés vifs par des SS de la division blindée "Das Reich".

ORADOUR:RECIT D'UN MASSACRE >>>>>>>>>>

CENTRE DE LA MEMOIRE >>>>>>>>>>>>>>

"Oradour-sur-Glane, village martyr"


Une exposition itinérante relatant le drame d’Oradour-sur-Glane pour le réseau des bibliothèques et médiathèques de France. Celles-ci peuvent contacter le Centre pour marquer leur intérêt et éventuellement accueillir cette exposition du souvenir. Cette exposition est visible à Oradour-sur-Glane jusqu'en mai 2008.

Le 10 juin 1944, la population du village limousin d’Oradour-sur-Glane fut massacrée par une division Waffen

SS.Depuis cette date, les ruines du village détruits sont conservées en l’état et le Centre de la mémoire, ouvert en 1999, accueille et informe les quelques 300 000 personnes qui visitent le site chaque année.
L’actualité nous rappelle malheureusement la nécessité de se souvenir de tels faits, et de développer une réflexion constructive sur l’endoctrinement et la citoyenneté. Conscient de sa mission, le Centre de la mémoire d’Oradour engage de nombreuses démarches envers tous les publics, en Limousin mais aussi hors les murs.
 Au travers de 63 photographies (48 noir et blanc, en format 30/40 et 15 couleur, en 21/15), ressurgit une histoire ; celle d’Oradour avant, pendant et après le massacre. Articulée selon ces trois temps distincts, l’exposition est complétée par des textes, expliquant, précisant ; mentionnant une vie disparue. Les photographies sont présentées encadrées d’un bois naturel, rappelant la simplicité du bourg rural qu’était Oradour, et la sobriété nécessaire au sujet qu’elles évoquent EN SAVOIR PLUS >>>>>>


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