Par delà cette définition, le Fondateur et Directeur de la collection "CNRS - Communication" pose en même temps les limites de la pensée agissante et de l’action pensante telle que la communication politique peut être vécue sur le terrain. Aujourd’hui, l’homme ou la femme qui aspire à des fonctions publiques est donc confrontée à une « entrée en communication ». Elle est aujourd’hui soit instinctive, soit réfléchie, soit gérer individuellement, soit confiée à un ou plusieurs conseils. La gamme des supports offerts, du papier à l’internet, ouvre une gamme de « possibles » qui doivent être conçus et imaginés à la fois par des « créatifs », mais aussi par des « réalistes », en prise avec le terrain et les réalités sociale.
Toute communication politique obéit ainsi à une politique de communication qui innove au gré des scrutins électoraux. A l’instar d’entreprises, cette communication est sur-mesure. Elle prend en compte une veille informative, l’analyse des « théâtres d’opération », des cibles. En raison du paramètre affectif, l’erreur parfois commise est de résumer la communication politique à une communication produit. Néanmoins, et les élections américaines l’ont prouvé, elle est désormais incontournable. Buzz, réputations, blogs sont donc amenés à être des outils de campagne.
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