Selon une étude de l'INSEE :
À âge donné, les personnes qui vivent en couple risquent moins de décéder que les personnes qui vivent seules. Une fois arrivées aux grands âges, celles qui n’ont jamais vécu en couple font exception. En revanche, à tout âge, une séparation ou le décès du conjoint s’accompagne d’une surmortalité, à laquelle les femmes semblent mieux résister. Situation conjugale et risques de mortalité partagent des origines communes. La précocité des décès de ceux qui n’ont jamais vécu en couple résulte ainsi souvent d’une conjonction de facteurs de santé, sociaux et professionnels défavorables qui recoupe leur difficulté à fonder un foyer. Les hommes et les femmes qui ont eu deux enfants ont un moindre risque de mortalité.
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