Le magazine américain Meat and Poultry a raconté l’histoire suivante, qu’il a trouvé dans la newsletter Feathers, l’organe de la Fédération de l’Industrie Volaillère de Californie, qu’il présente comme véridique : l’info daterait, selon certaines sources, de 2006, de novembre 1995 d’après le très sérieux et souvent fiable site mythe-hunter.com …
L’administration aéronautique fédérale américaine (FAA) a un moyen unique de tester la résistance des pare-brise d’avions. Le système est composé d’un pistolet qui lance des poulets morts sur les dits pare-brise à la vitesse approximative d’un avion en vol. La théorie est simple : si le pare-brise résiste à l’impact de la carcasse, il devrait survivre à une véritable collision avec un oiseau vivant. Les Belges se sont montrés très intéressés par cette technique, ils ont décidé de tester de la même manière la résistance des pare-brise du modèle de locomotive à grande vitesse qu’ils étaient en train de développer. Ils ont donc emprunté le lanceur de poulet américain, l’ont chargé et ont fait feu. Le poulet “sol-sol” a explosé la vitre du train, traversé le fauteuil du mécano et défoncé la console des instruments de bord avant de s’encastrer dans le panneau arrière de la cabine de pilotage. Les Belges, un peu surpris, ont alors demandé à la FAA de vérifier la validité de leur test. La FAA s’est livrée à un examen de la procédure pour aboutir à la recommandation suivante : il faut décongeler le poulet …
Les spécialistes des chemins de fer belges, interrogés, n’ont pas pu confirmer cette information, mais l’un d’entre eux se souvient qu’il avait “déjà entendu parler de cette blague il y a longtemps”, mais que l’on “parlait alors d’un avion de construction belge” …