« L’opposition fait tout simplement son travail. » Martine Aubry, France Info
« C’en est fini de la mondialisation dite heureuse. » Henri Guaino, Le Monde
« Qui lui arrive à la cheville ? Pour l’instant, personne. Pour moi, il y a Napoléon, De Gaulle et Sarkozy. Entre nous, c’est peanuts. N’écrivez pas cela, sinon on va dire que je suis sarko-barge. » Nadine Morano, Le Parisien.
« Depuis la crise financière, on ne sait plus avec quoi la rupture a rompu. » François Bayrou, AFP
« J’avais été le premier à utiliser le terme d’omniprésident pour décrire sa façon de concentrer tous les pouvoirs. On peut maintenant parler d’egoprésident. » Laurent Fabius, Le Parisien
« Nous ne sommes pas là pour gêner l’actuelle direction. Nous avons été laissés derrière la porte, mais nous sommes chez nous au PS. » Ségolène Royal, AFP
« Je pense que ça a blessé des militants socialistes sincères, c’était une faute de ma part. » Benoît Hamon, RTL
« C’est une affaire privée qui ne concerne pas le PS. » Benoît Hamon, AFP
« Jamais depuis le roi Charles X un chef de l’État n’avait osé restreindre le droit le plus sacré des parlementaires. Jamais on n’avait poussé si loin la volonté de mater les assemblées. » Jean-Marc Ayrault, AFP
« À l’UMP, je veux montrer que j’aime et que je sais jouer collectif. » Xavier Bertrand, Le Figaro
« Il peut sortir quelque chose de bon de la crise économique si elle conduit à une meilleure répartition des richesses. » Ségolène Royal, Le Figaro
« Je le dis avec force : le Sénat ne sera pas la force de blocage de cette réforme. » Gérard Larcher, Le Figaro
« Julien Dray a été exécuté médiatiquement. » Malek Boutih, AFP
« Dans ces cas-là, on a surtout besoin de ses amis, de sa famille. Si Martine considère que Julien ne fait plus partie de la famille, c’est encore plus grave. » Michèle Sabban, AFP
« Il n’est pas très agréable de voir ce déchaînement aujourd’hui sur Julien Dray. » Frédéric Lefebvre, AFP
« Moi, je suis fromage et dessert. » Roger Karoutchi, sur sa préférence entre Jean-François Copé et Xavier Bertrand, AFP
« J’assume totalement le fait d’être partie prenante de la majorité. Je suis à l’aise. Très. Trop ! » Éric Besson, Le Monde