Des Sénateurs démocrates prennent leurs distances avec le plan de relance, façon pour certains d'entre eux de montrer leur déception face à l'absence de proposition pour intégrer le cabinet ou face à l'omniprésence des "années Clinton".
John Kerry est l'exemple du "soutien critique" exprimant ses réserves sur les mesures projetées et ce dans des termes sévères.
Pour les réductions d'impôts, il parle "d'incitations marginales à l'efficacité marginale".
Ce mécontentement montre que le seul ressort du Président restera son rapport direct avec l'opinion et seul ce rapport direct guidera sa marge de manoeuvre.