Pour celles qui ne sont pas de ferventes consommatrices de presse féminine ou qui n'ont pas le privilège d'avoir des collègues qui apportent le BIBA pour tuer le temps au travail, je viens partager avec vous cette grandiose prose du magazine, daté du mois de février 09 (oui, déjà...)
Je vous invite donc à agrandir le texte suivant et de lire le paragraphe mis en évidence:
Je vous laisse commenter.
Moi, j'en ris autant que j'en suis affligée...
Quelle merveilleux métier que celui de journaliste.
Surtout quand on a un éditeur qui permet autant de fantaisies!
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Rappel: encore quelques petites heures avant la fin des votes pour mes rutilants dessous dans le Blog-it chez Chouyo! (Clic, clic)