James Bond essaie de se réconforter de la perte de Vesper Lind, la seule femme qu'il ait jamais aimé, et qui meurt à la fin de Casino Royale, le précédent opus. Il en a le coeur brisé. Ca se ressent dans cet épisode, parfois trop. Le chagrin le rend trop violent, trop méchant, trop ingrat, trop désobéissant, trop tout. L'esprit de James Bond, même avec ce petit côté bestial et sauvage caractérisé par Daniel Craig et qui m'avait enchantée dans le premier, est toujours là mais il est trop exacerbé. Et je ne vous parle même pas de la platitude du jeu et du peu de Mathieu Amalric, le méchant.
Quantum of Solace n'est qu'un mauvais film d'action où le héros dégomme les méchants. Point.
Et puis, moi je suis une partisane de l'achat IRL. Internet c'est bien, mais je préfère toucher, essayer, caresser l'objet avant ,pour savoir si lui et moi ça va coller, plutôt que de me retrouver à attendre comme une gamine devant le sapin le matin du 25 décembre et lorsque le colis sera enfin devant moi, être déçue par ce que la paire de chaussures est trop petite de deux tailles (ça fallait le faire et je l'ai fait) ou la tunique trop grande. Et vu le prix de l'envoi par DHL, on va dire que c'est non. (*) façon Amel Bent.
C'est tout pour le moment.