Ca y est, j’ai rendu mon premier papier à l’Express, il a même été publié hier soir. Tiens, c’était même en home page durant quelques heures. Je me serais presque pris pour une vraie journaliste. C’était pas mon rêve au fait? Oui, il y a quelques années, à la sortie du lycée, puis de nouveau en sortant de mon école de com’. Mais aujourd’hui, ma profession à mi-temps, c’est blogueuse. Durant l’autre mi-temps, je fais du web.
Je suis DG de mon propre blog, perso cela dit et dont les sujets pourront surprendre les lecteurs qui viennent tout droit de l’Express. Je parle beaucoup de moi, de mes découvertes, de mes coups de coeur, parfois des coups de gueule, mais je préfère l’enthousiasme à la flagellation. Alors lorsque j’ai travaillé dans cet article sur le Cambodge, j’ai eu quelque appréhension. Je ne vais pas vous mentir, je ne suis pas une spécialiste du Cambodge, mais pour réaliser le papier, je me suis plongée dans le vif du sujet, ai eu le temps de lire un bouquin sur la question, ai même interviewé un vrai passionné du pays pour avoir cette authenticité dans les mots que seuls ceux qui aiment ce dont ils parlent, savent transmettre. Sur un sujet aussi sensible, je redoutais de faire des erreurs. On ne rigole pas avec ce genre de chose, on n’erronne pas la guerre, on essaie de rester fidèles à l’histoire sans oublier personne.
Merci Benoit pour son aide et dont la description du Cambodge via une citation de Loup Durand m’a énormément marquée et touchée. “Le pays de l’inimaginable douceur de vivre“. J’ai trouvé ça beau, ça m’a donné envie de découvrir.
Et si vous voulez lire l’article, c’est par ici : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/asie/le-cambodge-30-ans-apres-les-khmers-rouges_730088.html
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