Oh mon dieu ! Je ne voulais pas aller voir mon psy. De plus, j'ai attendu 1h30 : j'ai fahi partir car plus j'attendais, plus le stress montait. Je me suis fait violence et suis restée.
Je lui ai parlé du copain de ma mère, en fait, je n'arrivais pas à finir ma phrase : j'ai dit “le copain de ma mère a …” et voyant que je n'arrivais pas à finir, mon psy a continué : “a oublié que vous étiez sa belle-fille?” j'ai répondu “oui”, je tremblais, c'était horrible. On en a beaucoup parlé, je lui ai dit que j'avais dérapé ensuite, je lui ai dit ce que j'avais fait et que je pensais que c'était le contraire de moi-même et qu'en même temps, j'avais terriblement peur que ce ne soit pas si contraire à moi-même. Au final, on en a d'ailleurs conclu que c'était en moi mais que c'était du refoulé et qu'il fallait que je l'accepte (travail sur moi-même en vue)… Il a ajouté aussi que les rêves étaient aussi l'expression de nos refoulement, de l'inconscient…
Je lui ai dit que je voulais partir de chez moi, il pense que c'est une bonne idée. Prochain Rdv le 3 février (je crois qu'il va prendre des vacances entre deux)…
Par contre, j'ai demandé à ma mère de prendre rdv à la caf pour se renseigner pour les aides au logement et elle a fondu en larmes et m'a dit qu'elle croyait que je n'étais pas sérieuse quand je disais que je voulais partir…
Enfin, je me suis engueulée avec ma soeur. Il fallait que je mette les choses au clair. Ca ne lui a pas plu, son problême, c'est qu'elle ne fait que ce qu'elle veut et refuse d'être contrainte mais par contre, elle contraint tout le monde à lui obéïr…
Ma mère m'a quand même amenée acheter mon téléphone :
Comme vous pouvez le remarquer, pas de touche tactile !!!