A propos des festivals, autant la grande messe d'Angoulême est sans doute indispensable pour les professionnels, il me semble que les autres festivals doivent évoluer pour mieux répondre aux besoins du public et des auteurs ou des éditeurs. Trop souvent les festivals sont avant tout un lieu de chasse à la dédicace par des chasseurs professionnels. Certains ne discutent même pas avec les auteurs. Certains, les mêmes parfois, s'empressent de revendre sur ebay ce qui est pourtant un cadeau personnel du dessinateur. Parfois, les festivals comptent quelques expositions qui ne mettent pas en valeur les œuvres exposées, ne les annotent pas, ne les font pas vivre. Tout le contraire à Audincourt, Blois ou Saint-Malo où les organisateurs consacrent de l'énergie et un budget pour réaliser des expositions spéciales bien agencées, organiser des débats. Ce n'est pas gagné car les chiffres de fréquentation s'érodent partout devant l'explosion des rendez-vous tout au long de l'année et les sponsors se font tirer l'oreille. Alors, travaillons en 2009 pour des festivals de qualité, un calendrier plus harmonisé et au final des rendez-vous fructueux pour tous les participants.
Voici le message de Gally Mathias, un auteur dont je suis les travaux notamment sur son blog (agrémenté d'une musique très sympathique) ou son nouveau book en ligne et que j'ai rencontré lors de l'excellent festival d'Audincourt : "Tous mes vœux pour cet an neuf, bonheur, santé, prospérité (que demander de plus ?)." Je ne serai malheureusement pas à Angoulême pour le revoir mais il y sera, ainsi qu'à Audincourt où je compte bien à nouveau aller. Tous mes vœux Mathias et merci de participer ainsi à notre évasion !
A propos des festivals, autant la grande messe d'Angoulême est sans doute indispensable pour les professionnels, il me semble que les autres festivals doivent évoluer pour mieux répondre aux besoins du public et des auteurs ou des éditeurs. Trop souvent les festivals sont avant tout un lieu de chasse à la dédicace par des chasseurs professionnels. Certains ne discutent même pas avec les auteurs. Certains, les mêmes parfois, s'empressent de revendre sur ebay ce qui est pourtant un cadeau personnel du dessinateur. Parfois, les festivals comptent quelques expositions qui ne mettent pas en valeur les œuvres exposées, ne les annotent pas, ne les font pas vivre. Tout le contraire à Audincourt, Blois ou Saint-Malo où les organisateurs consacrent de l'énergie et un budget pour réaliser des expositions spéciales bien agencées, organiser des débats. Ce n'est pas gagné car les chiffres de fréquentation s'érodent partout devant l'explosion des rendez-vous tout au long de l'année et les sponsors se font tirer l'oreille. Alors, travaillons en 2009 pour des festivals de qualité, un calendrier plus harmonisé et au final des rendez-vous fructueux pour tous les participants.
A propos des festivals, autant la grande messe d'Angoulême est sans doute indispensable pour les professionnels, il me semble que les autres festivals doivent évoluer pour mieux répondre aux besoins du public et des auteurs ou des éditeurs. Trop souvent les festivals sont avant tout un lieu de chasse à la dédicace par des chasseurs professionnels. Certains ne discutent même pas avec les auteurs. Certains, les mêmes parfois, s'empressent de revendre sur ebay ce qui est pourtant un cadeau personnel du dessinateur. Parfois, les festivals comptent quelques expositions qui ne mettent pas en valeur les œuvres exposées, ne les annotent pas, ne les font pas vivre. Tout le contraire à Audincourt, Blois ou Saint-Malo où les organisateurs consacrent de l'énergie et un budget pour réaliser des expositions spéciales bien agencées, organiser des débats. Ce n'est pas gagné car les chiffres de fréquentation s'érodent partout devant l'explosion des rendez-vous tout au long de l'année et les sponsors se font tirer l'oreille. Alors, travaillons en 2009 pour des festivals de qualité, un calendrier plus harmonisé et au final des rendez-vous fructueux pour tous les participants.