Une étude de l’université de Californie Los Angeles (relayée par BBC) a été menée auprès de personnes âgées de 55 à 76 ans. On leur a demandé de lire des textes et de faire des recherches sur Internet. Les résultats montrent que :
“les deux types de tâches sollicitent les aires cérébrales associées au langage, à la lecture et à la perception visuelle (résultats mis en évidence par l’imagerie cérébrale). a recherche d’informations sur Internet mobilise en outre les aires impliquées dans la prise de décision et le raisonnement complexe. Ce résultat s’observe chez les internautes expérimentés et non chez les débutants. Les internautes expérimentés mettent en oeuvre des stratégies dans la recherche et la sélection d’informations à l’origine de cette stimulation cérébrale accrue.” (Ergonomic garden)
Convaincus ? Dans son article, l’auteur, Amal Ali Ammar, émet toutefois quelques réserves en citant les travaux de quelques chercheurs sur la maladie d’Alzheimer. En guise de conclusion, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Vous aimez les mots croisés, pourquoi ne pas les faire sur le Web ?