Bruxelles. La Commission des citoyens pour les droits de l’homme (CCDH) dénonce l’ingérence sournoise et silencieuse de la psychiatrie dans la santé des jeunes enfants à partir de pseudo maladies créées de toutes pièces, tel le Trouble d’hyperactivité avec déficit d’attention (THADA) ou ADHD et qui, méthodiquement, sont consignées dans la bible du psychiatre, le DSM-IV (Manuel Diagnostique et Statistique, édition IV ou son équivalent européen l’ICD-10) et dont le nombre de cesse de croître régulièrement. A la lecture de ce DSM, à l’heure actuelle, chaque individu, chaque enfant, peut être considéré comme un « malade mental » nécessitant son hospitalisation forcée et un « traitement » approprié, ce que certains états totalitaires ne se privent pas d’utiliser. De plus, la CCDH dénonce l’emploi systématique en guise de traitement de drogues, comme les antidépresseurs, dont les effets secondaires sont reconnus comme dangereux pour de jeunes organismes en croissance et peuvent conduire à des automutilations, des suicides et même des impulsions meurtrières (idées homicidaires).
On estime que environ 6000 enfants belges prennent des antidépresseurs, dont le pharmacologue français Gilles Mignot dit qu’ils augmenteraient le taux de suicide chez les jeunes. Mondialement, sur les 20 millions d’enfants placés sous psychotropes 63 000 vont se suicider. Cela est confirmés par les mêmes organismes (Food and Drug Administration -FDA américaine) qui ont autorisé la mise sur le marché de ces drogues sous des pressions ou dans des conditions peu honorables, telles des expertises tronquées. De plus , une étude de 2006 montre que tous les psychiatres qui avaient rédigé la section du DSM-IV sur les troubles de l’humeur avaient des liens financiers cachés avec les sociétés pharmaceutiques.
Il est bon de se rappeler qu’en France, en 2006, des spécialistes de neuropsychiatrie avaient tenté de faire passer une loi sur le dépistage systématique des troubles mentaux dès l’âge de trois ans ! Quand on connaît les effets de ces produits il y a de quoi frémir sur les intentions de ce groupe. Cela a un vague relent d’eugénisme : « La science consistant à améliorer la lignée… » de F. Galton, qui côtoie un totalitarisme semblable à celui du nazisme (l’hygiène raciale du psychiatre nazi E. Rudin) et du stalinisme (l’institut psychiatrique Serbsky de Moscou) avec toujours la participation active de la psychiatrie qui contrôlerait les esprits et la science.
« Nous allons vers un monde de zombies drogués. Ils veulent des enfants obéissants et soumis, pour qu’ensuite, une fois devenus grands, ils soient capables d’obéir aux ordres et, ainsi peut-être, d’avaliser tranquillement une dictature. Apparemment, les plus rebelles sont très préoccupants » dénonce le psychanalyste Juan Pundik (Mai 2008), « Au lieu de se demander pourquoi un enfant est triste, ils le droguent ». « Etiqueter un enfant « malade mental » est une stigmatisation, non un diagnostic. Lui donner un psychotrope, c’est l’empoisonner, non le soigner » déclare Thomas Szasz, professeur émérite de psychiatrie (New York).
Parents, ne faites pas de vos enfants des cobayes de la psychiatrie. De trop nombreux jeunes enfants y ont laissé leur vie (Rapport sur des enfants dits « hyperactifs » présenté devant l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, 2001). Un prix lourd à payer pour le « traitement » d’une « maladie » dont l’existence doit encore être prouvée !
La Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (CCHR) a été créée en 1969 par l’Eglise de Scientologie et le Professeur de psychiatrie Thomas Szasz, pour enquêter sur les violations des droits de l’homme par la psychiatrie, les dénoncer et assainir le domaine de la santé mentale.
Pour s’informer et se documenter : www.cchr.org