Quelqu’un – j’ai oublié qui – m’a taguée sur le tag de la culture et de l’inculture. Quels sont mes manques dans les domaines suivants : le cinéma, la littérature, la géographie, les mathématiques, la cuisine et les boissons.
J’aimerais d’ailleurs bien savoir qui me hait à ce point pour vouloir que je me ridiculise de cette façon-là.
Cinéma :
On va commencer parce ce que je connais ; tous les films policiers et d’horreur de n’importe quelle période. J’ai vu tout les Louis de Funès aussi.
Je n’y connais rien en cinéma asiatique (et l’Asie c’est grand). Rien en cinéma expressionniste allemand, rien en muet.
Géographie :
Là on atteint les sommets. Non seulement, je n’ai aucune connaissance mais en plus, aucune mémoire visuelle. Il y avait un jeu sur facebook où l’on devait placer des villes ; mes scores étaient minables, et sans aucune amélioration vu que je n’arrivais à me souvenir d’aucun emplacement.
Je rappelle quand même que j’ai fait Histoire où l’on a des cours de géo censés préparer au CAPES. Avec un prof, certes un peu gateux, j’ai eu la merveilleuse note de - 100 (oui il était fou m’enfin cela ne valait pas plus). Mes cartes, magnifiquement dessinées, ressemblaient aux toilettes d’une maison de retraite.
Littérature :
Niveau classiques, ca va. Mieux, je suis fan de Zola donc ca facilite.
Nullité intégrale en littérature contemporaine, encore plus en poésie (là c’est degré zéro). Enfin j’ai lu un Guillaume Musso quand même.
Mathématiques :
J’ai fait un bac scientifique, que j’ai eu, je ne sais pas trop comment. J’ai mis 6 mois en primaire à apprendre la règle de trois. Je ne sais toujours pas faire un pourcentage.
Nourritures :
Je l’avais évoqué ici, je suis lamentable en cuisine. Enfin j’exagère un peu, je peux suivre une recette et la réussir. Innover, faut pas déconner non plus. Rappelons quand même que le comble de l’extase est pour moi de manger au mac do.
Boissons :
Cela fait 10 ans que je ne bois plus une goutte d’alcool. Au point que j’ai réussi à me rendre pompette avec un baba au rhum(Florence Foresti, si tu me lis…). Et il y a dix ans, on ne buvait pas de vin ; le but étant d’être ivre le plus rapidement possible. J’aimais donc bien, bien, bien le Jack Daniel’s.