[Dites le avec … des poils !]

Tout d’abord, un florilège de citations et de plantage de décor… pour vous mettre dans le bain (de poils ?)… Ce qui m’a inspiré cet article, c’est un billet fraîchement bricolé chez Les Tamaris, mettant en exergue la pilosité, les poils… bref, la suite en images… Il a réalisé récemment un sondage afin de voir parmis les catégories proposées celles que nous préférons.. Le résultat publié aujourd’hui donne la catégorie “poils” grande gagnante pour mon (votre ?) plus grand plaisir. Esperons que cela va lui donner plus souvent envie de nous faire profiter de ces trouvailles qui ont le mérite de proposer autre chose que ces torses moins excitants glabres …
Dans la série citations:
+ Fiuuu wrote @ April 30th, 2007 at 12:41: “22ans et déja plein de poils au torse …? moi huit de plus environ et pas un seul, glabre comme un lévrier … est ce normal ??”
+ Eustazio wrote @ April 20th, 2007 at 16:14: “Aucun rapport thanos, mais as tu des poils poitrinaires ?” [note de Thanos: suite à cette vidéo ]
+ Fiuuu wrote @ May 7th, 2007 at 18:41: “Et si les chatons ont aussi des poils sur leur torse la paternité est totale (et si les tétons de la chatonne sont sensibles je crois que là on pourra dire que la boucle est boulée !)” [Suite à l’annonce de la naissance des enfants de ma Peluche]

Alors, maintenant, j’entre dans le vif du sujet: LES POILS…
Nombreux parmi nous sont ceux qui execrent la moindre touffe. Ils la tondent, la rasent, l’épilent, l’éclaircissent, bref, ne l’assument pas. Aussi est il nécessaire de différencier les poils gentils et les vilains poils. Il y a ceux que l’on évite de garder, quand il y en a trois qui se battent en duel au niveau du torse, ok, c’est ridicule, là, on se rend service, on enlève. Et puis il y a ceux qui sont au niveau du bas ventre… vous savez, au niveau de la ceinture, que l’on élague un peu parce que bon, pour l’hygiène, cela ne fait jamais de mal, il y a ceux sous les bras que l’on peut aléger aussi pour le bonheur de nos aisselles et de nos chemises qui finalement subissent moins l’affront d’auréoles disgracieuses. Qu’ajouter sinon qu’il y a ceux du dos et des épaules que l’on souffre si ils sont trop nombreux et que, well, on ne peut enlever facilement tout seul (alors pour cela il existe des esthétichiennes qui avec un large sourire polident vous propose de vous écraser leurs mégots sur le dos vous épiler le dos sans douleurs… mouais… moi je ne m’y essayerais pas si j’étais vous, parce que quand cela repousse, bonjour la spontex !)

Bref, des poils, quand on en a vraiment, on les assume et on les porte avec fierté ! (comme Les Tamaris !)

Surtout que je vais vous apprendre quelque chose grâce à notre cher Wikipédia :
Les poils qui poussent tranquillement autour des organes génitaux ont des fonctions mal comprises, respectivement “d’évaporation de la transpiration, et peut-être de diffusion d’hormones” (hum, les odeurs ). “Les poils, cheveux et autres phanères pourraient aussi contribuer à la détoxication de l’organisme, on y trouve par exemple une partie de toxiques tels que le plomb, le mercure ou l’arsenic absorbé via l’alimentation ou la respiration.” [Source]
Ce qui évidemment d’un point de vue scientifique est très interessant. Mais, il y a mieux encore !!!

Et SEXUELLEMENT, il y a une différence entre avoir des poils ou non ?
La réponse est OUI !
D’une manière générale, que ce soit dans des rapports hétérosexuels ou homosexuels, il y a une différence dans le rapport avec les poils. Non seulement ces derniers sont, comme nous l’avons vu plus haut, à l’origine d’hormones qui excitent et stimulent le/la partenaire. Mais bien plus qu’un véhicule hormonale, le poil est aussi la passerelle vers des sensations différentes. Au hasard de recherches, je suis tombé sur l’Axilisme (aaah c’est de la que vient la marque AXE alors ? hé oui !) qui “est une pratique sexuelle consistant pour un homme à se masturber à l’aide des aisselles de son ou sa partenaire. La peau des aisselles étant sensible aux stimulations chez certaines personnes, les poils apportant une touche particulière, les deux participants peuvent y prendre du plaisir et le rapport aboutira à un véritable orgasme.” Alors je vois déjà vos mines circonspectes. Je ne connaissais pas non plus, vous essayerai ce soir avec Monsieur. (ou pas.)
De manière plus générale le poil est relié à de petits muscles lisses et sous-cutanés appelé muscle arrecteur (ou horripilateur) qui permettent au poil de se dresser. Ils réagissent au froid..ou à d’autres stimuli. Et croyez moi, étant doté de poils par la généreuse Nature, et ayant essayé avec et sans, je peux vous confirmer que les poils, c’est du bonheur étalé sur votre peau, c’est ce qui fait de votre corps entier une zone érogène très réactive…