L’étendue blanche ou la blanche étendue… Je n’ai jamais vraiment su comment la décrire.
Peu importe finalement. Elle est là, il est là ; l’étendue, le blanc. Partout. Le blanc domine, ravage, étouffe, il couvre, il envahit, les rues, l’horizon, la terre.
Il plonge dans une sorte de fascination semi-comateuse. Les nuages au-dessus de nos têtes, un peu en nous également. Et il faut bien le reconnaître, cette conscience éthérée n’est pas pour nous déplaire.
Le rêve s’est glissé dans la réalité. A quoi bon s’en priver ?
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Bonne année 2009 à tous !
Désolé pour mon absence de ces 2-3 dernières semaines ; et merci à vous d’avoir permis quelques 3000 passages durant cette première année d’existence de La septième nuit de Vala !