En janvier, alors qu’on vient d’absorber ce qui suffirait à nourrir une population gazaouite pendant deux ans (on va s’en tirer comme ca, je n’évoquerais pas davantage), arrive la galette.
La galette c’est
- du beurre
- de l’amande (donc de l’huile)
Le kouign amann est presque light à côté – enfin pas celui de spike.
Les temps sont durs et surtout je ne vais pas faire deux heures de RER pour pécho une galette Ladurée. J’ai donc opté pour la galette Auchan, ce qui, 5 minutes, m’a donné l’impression d’être pauvre ; c’est pas désagréable si ca dure pas.
La galette Auchan c’est comme une galette normale sauf que c’est plus gras. C’est pas mal de faire engraisser le pauvre ; il a moins froid sur les chantiers après. Après on peut lui expliquer qu’il mourra jeune, lui faire promettre de manger 5 fruits et légumes par jour (et là le culpabiliser s’il achète des tomates espagnoles) au lieu de claquer son argent en nintendo pour les gosses et gitanes maïs pour lui.
Bref on s’en fout, on n’est pas concerné. Nous on est gros mais grâce au foie gras.
La galette donc.
J’avais oublié le problème de la fève. Que j’ai eue. Ce qui d’habitude me remplit d’une joie insigne. De toutes façons, je l’aie toujours puisque que j’ai une technique imparable. Vu comme c’est gras, vous pouvez aisément lever le dessus, repérer l’endroit ou est la fève et la donner aux enfants à moi.
J’ai donc eu une fève, fruit du cerveau d’un malade mental, fan d’art abstrait.