On ne n’a pas vu au cinéma durant des années parce qu’il avait de sérieux problèmes de drogues. Cette période sombre de sa vie enfin terminée, Robert Downey Jr connaît à nouveau le succès et le réalisateur du film Sherlock Holmes se dit très satisfait de sa performance. Downey travaille bien.
Mais si la période de drogues est derrière lui, ses caprices ne sont pas morts avec la dernière piqûre. Sur le plateau, l’acteur et plus capricieux que jamais. Le film se tourne dans un ancien chantier naval, un endroit très éloigné des grands magasins et des commodités. Sur le plateau, les acteurs sont traités comme des princes, mais pour Downey, c’est pas encore assez. Il en veut toujours plus que les autres.
Il passe son temps à demander au go for d’aller lui chercher des articles de luxe, une boisson spéciale, un plat qu’il adore, bref des caprices dont tout le monde se passerait. Il est tellement exigeant que le pauvre coursier est sur le point de perdre sa job. Pris entre les folles demandes de l’acteur et le réalisateur, il ne sait plus quoi faire.
Jouer à la diva est une chose. Faire suer tout le monde sur un plateau de tournage alors qu’on est devenu un has-been, c’est tout simplement inacceptable.
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