Pas de pied de nez mais un argument juste derrière : Sauver la croissance verte et en finir avec la croissance grise. Arrêter de faire croire que l'une coûte plus cher que l'autre, alors que c'est sans doute l'inverse.
La croissance grise, c'est celle lucrative du tout technologique, écrans plats et compagnie, des emballages, des recyclages.
La croissance verte, pas la peine de faire un dessin.
Si la seconde prend lieu et place de la première, pas la peine non plus de faire un dessin. Largement de quoi faire un dessein, même.
Maintenant, y'à qu'à. Ce y'à qu'à ressemble à une montagne que nous serions bien inspirés de commencer à gravir.