Après une lecture sans soucis de Michel Robert, je m’attaque depuis deux jours aux œuvres complètes de Nuno Oliveira. Et là c’est la douche froide. Ce que dit le grand homme me parait au mieux compréhensible mais pas réalisable dans l’état d’avancement ou de non-avancement de ma technique et dans le pire des cas et là c’est plus grave, incompréhensible.
Flexion de la mâchoire, les demi arrêts, demi voltes hanches en dedans, toutes ces petites choses qui doivent paraitre évidentes pour…. la plupart des cavaliers ne le sont hélas pas pour moi. Et Nuno Oliveira d’insister sur l’importance de ces exercices…..
Mayrde avec ça Prince et moi ne sommes pas sortis de notre éternelle « débutance ».
Pour arranger le tout je me suis trouver un problème des plus grave: le manque de fixité et de souplesse dans les mains qui nuirait à l’impulsion de mon cheval. Non seulement nous n’avançons pas mais tout juste si ma façon de monter ne porte pas carrément préjudice au cheval.
Argggg…. la pilule est difficile à avaler. L’oeuvre est dense, je persiste, grapillant de ci de là une petite chose que je peux mettre en pratique ou tenter de mettre en pratique. Je crois que dans un premier temps Nuno Oliveira restera pour moi un état d’esprit plus qu’une façon de monter, pour le reste on en reparlera d’ici quelques….mo-années