Ces derniers temps, je suis tombé sur deux manifestations concrètes de ce dont il est question dans ce morceau. Ce qui suit est un petit complément en images de ce qu’on raconte sur ce morceau, Génération Silicium donc, quand on nous le demande. Et aussi quand on nous le demande pas.
La première fait plutôt marrer. Qui n’a jamais été pourri dans son exploration du monde Microsoft Windows par un vilain message d’erreur qui barre le passage au vaillant Indiana Jones de l’informatique ? Qui ?
Alors quand ça arrive aux autres et que ça ruine l’effet pub d’une jolie vitrine, c’est au moins un minimum marrant.
Dans d’autres cas, ça fait moins marrer. Je m’étais jamais posé la question de qui fait tourner les jolis appareils notre institution que sont feu les Poste Téléphone et Télégraphe. Jamais jusqu’à ce que je me retrouve confronté à cette vision d’horreur :
On confie la gestion d’une part de plus en plus importante de ce qui se passe dans nos vies à des technologies qu’on ne maîtrise pas. C’était déjà dit dans le post précédent sur le sujet plus ou moins avec cette même formule. Et si jamais, pour mieux s’en rendre compte de manière moins intellectuelle et plus en adéquation avec la légèreté estivale ambiante (du moins quand il fait pas 12°C à 14h), faut aller voir Die Hard 4 !
Dan