Madame Ghis, alias Ghislaine Lanctôt
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« Les droits et privilèges qui te sont concédés assurent ta sécurité et ta protection. En contrepartie, tu te soumets aux devoirs et obligations dictés par ton maître, le gouvernement, et ceux qu’il sert. Bref, tu vends ton âme pour assurer la survie de ton corps. Par le fait même, tu renonces à ton identité véritable d’être souverain. Pour sortir de l’esclavage, il te faut faire exactement le contraire, c’est-à-dire renoncer à la citoyenneté, avec tous ses droits et ses privilèges. Voilà la recette de la liberté ! »
Anciennement connue sous le nom de Ghislaine Lanctôt, médecin et auteure du best-seller “La Mafia médicale“, Ghis ose maintenant expliquer les dessous cachés de la mafia légale dans son tout nouveau livre, “Madame Ghis”. Depuis sa sortie du centre de détention Maison Tanguay de Montréal, elle proclame que : « La mafia légale dépasse la mafia médicale de cent coudées ! »
C’est ce qu’elle nous explique dans cette entrevue :
MADO : Pourquoi as-tu été incarcérée à Tanguay ?
GHIS : Parce que j’ai refusé de signer la libération conditionnelle qui était faite au nom de LANCTÔT GHISLAINE, la personnalité juridique créée par le gouvernement qui en détient la propriété. J’ai préféré aller en prison plutôt que renier mon identité véritable d’être souverain. Ce refus de signer engendrait automatiquement l’incarcération, en attendant le procès qui devait avoir lieu deux mois plus tard, le 28 mai 2008.
M: Pourquoi as-tu été libérée le 28 mai dernier ?
G : Ce jour-là, lors de ma comparution en cour, j’ai demandé une remise du procès. La date a été fixée au 20 janvier 2009. J’ai proposé au juge une libération sans condition, ce qui m’éviterait d’avoir à refuser une seconde fois de signer et de me retrouver de nouveau en prison. Le juge a accepté sans signature, uniquement sur ma parole d’honneur.
M : Que penses-tu qu’il va arriver le 20 janvier 2009 ?
G : Je n’en ai aucune idée et ça n’a pas d’importance. Ce n’est pas le résultat qui compte, mais bien le processus. Toute cette aventure consiste pour moi en une démarche d’évolution de conscience. Mes amis appellent cela un « shortcut évolutif ». Je sais pertinemment que c’est mon âme qui m’a amenée en prison, et que c’est encore elle qui va décider de l’issue du procès du 20 janvier… et non pas le juge, ni l’énorme appareil judiciaire derrière lui. Dans le monde d’illusion dans lequel nous vivons, nous croyons que c’est le pouvoir extérieur qui gouverne, et nous en avons peur. En réalité, l’âme de chaque être humain détient la toute-puissance. La complicité de toutes nos âmes assure la direction de l’évolution humaine. D’ailleurs, je termine mon livre en disant : « La grande gagnante de toute cette histoire, c’est l’évolution de la conscience humaine, comme toujours… » C’est uniquement de cela dont il s’agit. C’est pourquoi la décision du 20 janvier sera parfaite et ne m’inquiète pas.
M : Pourquoi dis-tu souvent que la mafia médicale n’est rien à côté de la mafia légale ?
G : Il me fallait comprendre la première avant d’aborder la seconde, qui est beaucoup plus complexe, cachée, insidieuse, fourbe… inconcevable pour une personne normale. Même une fois découverte, cette mafia est tellement raffinée dans son machiavélisme, qu’on arrive difficilement à y croire. Imagine-toi qu’au Canada seulement, il y a six millions de lois que tu dois connaître, parce que « nul ne peut ignorer la loi ». De plus, il y a deux séries de lois parallèles. Une relève du droit commun et l’autre, du droit commercial. Le vocabulaire légal utilise des mots courants, auxquels il donne une toute autre signification. Ainsi, le mot « personne » réfère à l’entité légale (fictive, de papier, l’homme de paille) et non pas à l’être humain en chair et en os comme on l’utilise dans le langage ordinaire. Et pourtant, les deux personnes, la fictive et la naturelle, portent le même nom. Trouvez l’erreur !
M : Es-tu en train de me dire qu’un citoyen typique possède deux personnalités distinctes ?
G : Oui, il en a deux. La première personnalité est le bébé en chair et en os qui vient au monde. La deuxième est une personnalité fictive créée par le gouvernement et qui porte le même nom que la première. Comme l’individu est ignorant de cette double personnalité, il s’identifie à l’homme de paille qui porte son nom. Il accepte ainsi, à son insu, d’être un esclave de l’État. C’est cette dualité de personnalités qui permet au gouvernement (gouverne & ment) de tromper l’individu et de lui imposer à son insu tout le système absurde qui en découle : légal, policier, judiciaire et carcéral. Cette tricherie est possible parce que j’ai oublié mon identité véritable, celle d’un être souverain, gouverné par son âme.
M : Tu mentionnes dans ton nouveau livre que la prochaine étape de l’être humain est d’apprendre à fonctionner au-delà de toutes les lois. Comment est-ce possible ?
G : En quittant la condition d’esclave ! Réalise que tu es esclave, fille de parents esclaves et mère d’enfants esclaves. Nous pratiquons cet esclavage de génération en génération parce que nous n’entendons pas tinter nos chaînes. Mais nous sommes des esclaves, propriété de l’État et entièrement soumis à ce dernier.
La phrase de Pierre-André Paré, ex-sous-ministre à Revenu Québec, est très éloquente : « Tout est privilège concédé par l’État : votre voiture, votre maison, votre profession, bref votre vie; et ce que l’État donne, il peut le reprendre si vous n’êtes pas un contribuable docile ». C’est ce conditionnement esclavagiste qu’il faut abandonner, car il amène l’être humain à rechercher protection et sécurité à l’extérieur de lui. Le temps est venu de mourir au mouton peureux pour lequel je me prends, et de naître à l’être souverain sans peur et tout-puissant que je suis. Il s’agit d’une véritable transformation, comme la chenille qui meurt pour permettre au papillon d’émerger de ses cendres. La crise que nous vivons en ce moment n’est ni financière, ni sociale, ni politique, ni environnementale… elle est évolutive. L’espèce humaine animale est en voie d’extinction. Elle est en train de muter en une espèce nouvelle, consciente de son identité créatrice illimitée.
M : Concrètement, que dois-je faire pour sortir de l’esclavage ?
G : D’abord, tu dois prendre conscience que tu y es ! Tu viens au monde esclave, tu vis en esclave, et tu meurs esclave. Cette condition t’amène à accepter aveuglément l’échange suivant… Les droits et privilèges qui te sont concédés assurent ta sécurité et ta protection. En contrepartie, tu te soumets aux devoirs et obligations dictés par ton maître, le gouvernement, et ceux qu’il sert. Bref, tu vends ton âme pour assurer la survie de ton corps. Par le fait même, tu renonces à ton identité véritable d’être souverain. Pour sortir de l’esclavage, il te faut faire exactement le contraire, c’est-à-dire renoncer à la citoyenneté, avec tous ses droits et ses privilèges. Voilà la recette de la liberté ! Vue de la Table des matière… Bas de Page !
(Source : CitéBoomers.com)
(Site légal : JeMeSouviensDeQuiJeSuis.com)
(Site général : personocratia.com)