bien fait pour vous.
mais vous vous disiez que quand même 1h30 de gros plan sur des gueules d’acteurs ca sert un peu a rien.
Et bien j’ai découvert et maté “la jeune fille et la mort” de monsieur Roman Polanski adapté d’une pièce de théâtre du chilien Ariel Dorfman. Le pitch est quasiment le même que celui de hard candy : une femme, sigourney weaver, torture un type, ben kingsley, pour lui faire avoué un crime (plutot sale). Mais contrairement a hard candy, ici il y a un troisieme protagoniste : le mari ,Stuart Wilson, grand avocat qui ne comprend pas sa femme et prend la defense du type.
Le jeu d’acteur est parfait, les dialogues sont incroyables de justesses. on passe tout le film a douté et puis non et puis oui et puis non et a faire des “whaa la situation de dingue”.
La derniere scene du film (une fois que le souflé a été tombé et digéré) est inquietante au possible.
bref du tres lourd.