Je me suis promenée dans la petite ville (presque déserte, comme il se doit, mis à part un adolescent errant et frigorifié) qui a inspiré à Flaubert la bourgade où s’ennuie Emma Bovary. Je ne suis pas sûre d’avoir bien identifié l’officine du pharmacien Homais ; j’étais venue voir le « phalanstère » que le véritable pharmacien édifia pour éduquer les enfants du peuple, et qui semble aujourd’hui bien délabré.
Bonne année 2009 à tous, pleine de pages tournées et de rêveries !