Les extraits de Belle du Seigneur que j’ai publiés ces deux derniers jours étaient un prélude à ce billet…
Je ne sais pas quelle date attacher au début de notre histoire. Les premières discussions ? Les premières confidences ? La première rencontre ? Le premier baiser ? La première nuit ? Il y a une date officielle, symbolique, et d’autres, avant, qui n’appartiennent qu’à nous.
La date officielle, ce sont les premières secondes de l’année 2008. C’était il y a tout juste un an.
Un an de bonheurs, de découvertes, de partages, d’amour. Un an sur lequel j’aurai eu tant à dire, à écrire ici, mais que j’ai préféré garder pour nous. Un an que je voudrai répéter à l’infini.
Alors voilà, cette date anniversaire arrive avec la fin de 2008, et à l’exercice du bilan de l’année, de ses faits marquants, c’est lui — nous — que je retiendrai.
Un jour peut-être, il y aura une fin, rien n’est jamais acquis, et c’est la possibilité de cette fin, n’importe quand — demain, dans un mois, un an, dix ans, ou jamais —, qui donne du sens à aujourd’hui.
Rien n’est acquis, sauf cette année de bonheur à deux, et la certitude qu’aujourd’hui, c’est lui que je veux continuer à rendre heureux, et avec qui je veux continuer de l’être.
Je t’aime.
Que cette année 2009 soit aussi belle pour vous que celle que je viens de vivre.