Même s’il n’y a mathématiquement pas de raison de glisser depuis 2008 en direction de 2009, même si les investisseurs trouveront certainement qu’ils ont suffisamment dégringolé au cours des derniers 366 jours, même s’il est paradoxal de souhaiter ainsi une bonne année dans un pays où il n’y a que quelques pistes de ski de fond, et même si c'est plutôt la descente qu'il va falloir soigner ce soir...
C’est comme ça qu’on dit, et tant pis pour le col du fémur, les bleus sur les fesses, la note du carrossier et les classiques « bonne année, bonne santé ».