Quelle année quand même !

Pour vous je ne sais pas, mais alors pour votre serviteur bloggeur, 2008 restera comme un tournant dans ma vie professionnelle. Avec Habib et Myriam, ma garde rapprochée affectueuse, nous sommes fiers d’avoir lancé M’CEO. Parler de Constructing® en plein marasme économique et financier… il fallait le faire… nous l’avons fait… et pire ça continue ! Je profite de ce blog strictement professionnel, pour leur redire mon affection et « Merci ». Merci aussi aux pionniers du Constructing® : Nathalie, Aline, Cédric, Christian, Jean-Frédéric sans oublier nos régisseurs ; Julien-Antoine, Maxime, Ivan, Thierry, demain sans doute Jonathan. Je vais vous faire une confidence, je ne regrette rien. Strictement rien. En cette période de crise M’CEO s’offre un luxe… sublime, forcément sublime : ne travailler qu’avec des personnes que la société a vraiment choisies. Le casting se construit au fil du temps, 2009 devrait être riche et très surprenant à ce titre. Et puis, vous mes amis bloggeurs, qui avez pris l’habitude de suivre mes péripéties, vous savez combien je ne transige jamais avec mes convictions, avec mes valeurs. Depuis bien longtemps, je suis à nouveau en adéquation avec ce que je crois ; avec ce que je veux pour servir d’abord nos clients ; servir. Oui, il est question de servitudes dans une entreprise ! En plus, cela fait bizarre de vous écrire tout cela le jour de mon anniversaire. Que sera M’CEO dans un an ? J’aimerais vous le dire, vous faire partager nos rêves, nos espérances : mais il ne faut pas toujours tout dire : protégeons-nous de la fameuse « obscénité » cher à Régis Debray (cf. Article de septembre 2007). Mais, quand même, je sais ce que j’espère pour M’CEO dans un an et dans trois ans. Ce n’est pas de la prétention, c’est de la prévoyance ! Etre dirigeant, c’est aussi, pardon pour cette Lapalissade, savoir où l’on va, pourquoi faire et avec qui ! Nous avons la réponse aux trois interrogations majeures. L’intendance suivra !!!!! Dans Facebook, je vais en dire un peu plus… mais Facebook… c’est moins public… le mauvais œil peut moins s’y glisser ! Cette année 2008 est une année aussi sous le signe des rencontres.
J’ai renouvelé ma gamme de connaissances. Certains deviendront des amis, d’autres passeront leur chemin, d’autres s’en iront vers d’autres aventures… mais ça fait du bien de rencontrer des personnes qui n’ont pas les mêmes schémas de pensées que les vôtres ; qui n’ont pas les mêmes envies, les mêmes colères, les mêmes révoltes… tandis que certains comptent en avance et par anticipation (Merci Pierre Dac) leurs dividendes (ah ! c’est dur d’être riche en pleine crise) ; d’autres se demandent si leurs emplois seront sauvegardés, le prochain paiement du crédit de la maison payée, si les enfants auront assez pour manger (ah ! c’est encore plus dur d’être pauvre en pleine crise). Bref, il faut s’ouvrir sur la vraie vie ! Et c’est pour cela que j’aime tant mon métier : rencontrer des personnes de toutes les Catégories Socio Professionnelles. C’est formidable. Je l’ai toujours fait, mais je vais le faire encore plus maintenant.
Je vous dis tout cela, non pas pour faire de la morale à deux balles (expressions familières) mais que tout le monde comprendra et en plus c’est pas trop mon style ; mais pour constater que les ennemis principaux de mon cher Constructing® se nomment « Egoisting », « Mensonging », « Dupering », « Exploiting » ce sont des facteurs de « Destructing » évidents ! Il est temps de reconstruire non pas un monde nouveau où tous les Hommes seront frères (lol), non mais des repères pour des collaborateurs et des dirigeants qui sont en quête du sens.
Du sens, redonner du sens à nos actions…
Du sens, redonner du sens à nos vies…
Du sens, redonner du sens…
« Apprends toi à te connaître et une fois que tu te connais, quitte toi ». Pas mal comme feuille de route pour 2009 : renforcer ses convictions et combattre ses certitudes. Pour vous, je ne sais pas, mais pour moi ça me va bien. Avec M’CEO, j’espère vous faire partager notre belle conviction : nous n’avons aucune certitude figée. Le pire : j’en suis fier.