Ciels d’été
Libre à toi, mon amour, de dévoiler tes charmes
Et d’étendre à loisir ton corps ensorcelé ;
Ivre de ces combats, dont tu détiens les armes,
Livrés avec l’ardeur des amants condamnés
Au châtiment brûlant de tes nuits exaltées.
Ah ! Le goût parfumé de tes lèvres exquises
M’évoque la douceur des terres ensoleillées
Où se joue l’avenir de nos âmes conquises,
Unies comme les mers sous