Ix

Publié le 30 novembre 2008 par Kullab
Mercure Mon cœur feint les contours d’un splendide croissant ; D’argent, il rayonne, sur une toile obscure Et au creux d’oreilles attentives susurre Son amour infini pour l’astre du Levant ; Mon cœur berce mon corps d’une douce chaleur Mais le fard, pâle et blanc, dont il a le secret, Ne saurait réchauffer les étendues glacées, Désertes et figées sous sa maigre lueur ; Mon cœur bat lentement,