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nous remettre en cause

Publié le 30 décembre 2008 par Bab

 Nous remarquons que de plus en plus notre métier devient sollicité, nous nous en plaindrons pas. Le problème est que depuis de longue années ce métier a été décrié par la politique, par nos élus, ou par nous même d'ailleur. Résultat, plus assez de personnel qualifié au moment de la relance et là comme ailleur le papy boum va passer.
Que constatons nous, les autorités , services navigation en tête, a donné les permis à qui les voulait sans grande difficulté, à des personnes qui ne le mérité pas toujours. Il y a eu bien entendu des déchets, cela est normal, mais aussi des gens qui eux sont restés car imposible de faire autre chose. Alors nous sommes obligés de constater que le résultat est franchement pas à la hauteur du but qui est à atteindre. Les salires pratiqués sont dans l'ensemble correct, mais souvent on entends dire que nous sommes bien trop payé par rapport à nos diplomes..?? Peut d'entre nous, il est vrai, avons des bacs ou autres licences de lettres..?? Donc nous sommes trop payés pour certain, parmi ceux-là nos armateurs bien entendus, mais aussi nos services d'état , qui admettent mal être sous payé, dans certain cas, par rapport à nous, bien entendu dans ces cas là ils oublient de regarder le nombre d'heures que nous faisons.
Il est temps de redresser cela, en commençant par faire accepter nos diplomes de capitaine en tant que qualification professionnelles et correspondance à des niveau d'étude professionnelles courante. Il est en effet inadmissible que nos années de formation ne soient pas sanctionnées par un
bac professionnel.
Si je dis cela, c'est que nous ne pourrons jamais arriver à nous faire valoir si nous n'obtenons pas ces équivalances. Dans la foulée, demander à ce que nos diplômes soient plus sérieux, surtout en ce qui concerne la formation à la sécurité et à la responsabilité. De plus , en particulier les transport de passagers, les prétendants au grade de Capitaine ou Commandant, doivent doivent être formés aux langues et à l'abstinance alcoolique, ce dernier point demanderait à être développé, car il y a certain capitaine qui n'ont rien à faire sur certain de ces bateaux.
Pour prétendre au grade et au salaire qui va avec, nous devons montrer que en sommes digne, mais certain en sont très loin,  ils font du tort aux autres.
Si dès maintenant, nous devrions suivre une voie pour franchement valoriser notre métier , c'est celle-ci que nous devons entamer.
Comme il n'y a rien, et bien les armateurs prennent n'importe qui du moment qu'il a un permis équivalant si facilement obtenu, nous observons que la plupart du temps sur le pont il y a des personnels européens qui ne parlent pas le français, avec des capitaines qui eux même ne parle pas l'Anglais, l'Allemans ou autre Roumain, Slovaque...Le règlement dit que dans ce cas il faut un interprète..?? je vous laisse deviner ce que cela doit donner lors des maneuvres et en cas de danger graves avec un interprète, qui n'éxiste pas bien entendu..certain des ces bateaux sont simplement dangereux.
Mais cela, nos responsables de la navigation le savent, mais ne font rien, il ne faut pas alarmer plus que nécessaire, pas de vague car il manque de personnel. Je me demande ce que font les soit disant représenatant syndicaux en la matière.
Voilà contre quoi nos enfants doivent se battre si ils veulent avoir un vrai et beau métier, dans ce monde en perpétuel mouvement.
fluviatilus


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