J'ai enfin retrouvé l'artiste auquel je faisais allusion ici ! Pour la présentation, José n'est en fait pas originaire du Brésil mais de Puerto Rico, et verse plus dans l'art abstrait que la banale calligraphie. Ses compositions ne manquent toutefois pas d'éloquence, et puisque j'arrive à court de mots nous allons le laisser s'introduire :
Cette excellent reportage couvrant une exposition à la galerie Elms Lesters de Londres creuse plus profond l'univers du créateur (le lien renvoie vers un excellent dossier synthétisant une seconde exhibition, jetez-y un coup d'oeil ainsi qu'aux autres sections du site ; le painting room a notamment hébergé le grand Ron English et l'espoir du modernisme Adam Neate y'a un moment de ça) :
Autant je n'accroche pas du tout au fameux Futura (c-c-c-c-cliché combo !), autant les quelques réserves que je fus tenté d'exprimer quant à l'étroitesse des horizons de Parlá suite à l'interview à son atelier se sont envolés avec les gros plans d'à 3 minutes 30. Le type semble humble, intelligent, et le conservateur en chef du cabinet confirme.
N'empêche, c'est tout un art de rédiger un article sans employer deux fois le même mot ; et pourtant, après cinq itérations du concept de salon (six) je parviens encore à vous épargner le très ampoulé pinacothèque. “Ce n'est pas la lumière qui manque à notre regard, c'est notre regard qui manque de lumière” disait Gustave Thibon.
Selon Evene.