L’ancien patron de l’entreprise qui a diffusé du lait trafiqué à la mélamine, dont le procès commencera le 31 décembre, encourt la peine de mort s’il est établi qu’il a sciemment produit ou vendu de la nourriture contenant des produits non alimentaires toxiques ayant entrainé des problèmes de santé pour les consommateurs.
Or il s’agit du troisième producteur de lait chinois , fabricant d’un lait maternisé bon marché et très populaire, contenant de la mélamine, uns substance chimique impropre à la consommation, qui rendu malade 3000 000 enfants, dont 6 sont probablement décédés, selon les autorités sanitaires du pays.
L’entreprise est accusée d’avoir étouffé l’affaire pendant des mois, en avisant les autorités début août 2008 seulement alors, qu’elle a reçu les premières plaintes fin 2007,avant d’effectuer des essais en juin de cette année.