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Bientôt 30 ans que Sid Vicious (qui doit son surnom au hamster de Johnny Rotten) nous a quittés.
Après Johnny B Goode, l’année se termine comme d’habitude, avec une semaine au Liban.
Mardi 16 décembre 2008 : déjeuner emporté de chez Tong Yen, le traiteur reste une valeur sure. Le soir, diner tardif à base de polenta au roblochon + salade.
Mercredi : Gerbe d’Or (lasagnes, bof) en vitesse. Rien le soir.
Jeudi : après de vaines recherches chez Darty, passage chez David Lunch. Le soir, pot et diner au 1979, rue Berger, entre le ChaCha et l’Atelier Berger.
Vendredi : panetone et brioche le matin. Rien au déjeuner. Pré-repas de Noël chez S et M, avec O, R et E.
Samedi : Paris Beyrouth avec L. J’ai presqu’oublié mon passeport et mes documents libanais. Déjeuner libanais.
Dimanche : déjeuner en famille. Le soir, diner retrouvailles chez M&M, désormais une institution.
Lundi : taboulé maison. L’après-midi, cartes…
Mardi : déjeuner chez Sami. Une nouveauté : le thon rouge en sashimi (comme ils disent). Bien, mais leur poisson, je le préfère en siyyadiyeh.
Mercredi : déjeuner à base de adas bi hamod, genre de soupe de lentilles, avec des morceux de topinambour, le tout relevé au citrom. Un plat simple mais excellent. Le soir diner en “grande famille”, menu essentiellement libanais, avec quelques apports occidentaux. Buffet de mezzés, pas toujours très fins, heureusement que ce genre de soirée n’a lieu qu’une fois par an.
En vrac : un concombre libanais, de la viande crue sous deux formes, une mini-pizza, un mini lahm bi ajine, du taboulé, des feuilles de vigne, du foie cru ou cuit, es petits kebbes, des samboussiks, du bastorma, du chou.
Taboulé très bien. On enchainera sur une dinde (à l’intérêt assez discutable), accompagnée de ce qui est, selon moi, le meilleur plat salé de la soirée : un riz aux amandes, pistaches et autres fruits secs. Fin avec des fruits ou un buche (génoise roulée, crème au beurre au chocolat noir, enrichie en chocolat noir). Vins de la Bekaa, de qualité variable.
Jeudi 25 : on ne fait pas dans la légèreté, malgré plusieurs doléances. Après le foie gras mi-cuit maison, un chapon farci, carottes et pommes. Overdose, il reste à peine la place pour un petit chocolat, du Cacaotier ou de chez Debauve et Gallais. Tisanes pour essayer de digérer. Pff, c’est dur…