Je t'imagine, au pied de ces montagnes anciennes,
Chaudement vêtue, je ne vois que le bout de ton nez,
Le vent glacial caresse ton visage, mais tu restes sereine,
Tes yeux bleus perdus dans les cimes enneigées.
Peu importent les kilomètres qui nous séparent,
Nos vies se croisent et se recroisent,
Au fil de nos notes et nos discussions amicales ,
Tu es maintenant mon amie, ma lectrice d'Oural.
Cartésienne, timide, et joueuse,
Spontanée, douce et chaleureuse,
J'envoie mille pensées parisiennes,
En Oural, qu'à celà ne tienne;)
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