Magazine
Mer absurde aux abysses cataloguées ne te farde pas comme une roturière rance avide de pouvoir tes charmes envolés éteints les feux de la villeseuls mes pas sur les pavésseuls mes pas dans les rues orphelinesles ivrognes les fêtards les noctambules sur un fil dans l'ordre sont rentrésje cherche un café suintant de tapage sentant la ragel'heure du dernier refuge ayant sonné