Le vainqueur de l’appel d’offre devra financer en effet 3 des 7 milliards
d’euros du projet, une somme que les industriels rechignent à débourser compte
tenu des « changements survenus dans l’économie mondiale ».
Le journal reprend notamment les propos d’un proche du dossier pour qui «
un projet de cette envergure […] n’est aujourd’hui pas finançable
».
Rappelons que la réalisation de la liaison à grande vitesse Tours-Bordeaux conditionne l’ensemble du projet Sud Europe Atlantique, et donc la LGV Poitiers-Limoges.