Nous surveillons attentivement les conséquences de la modification de la valeur de l’immobilier sur le moral des ménages.
Magnifique de recul, cette déclaration de Ben Bernanke, le patron de la FED (réserve fédérale US), feint d’oublier ou d’ignorer que derrière les indices composites de moral des ménages existent des situations bien réelles dans lesquelles des américains bien réels perdent leur maison bien réelles pour avoir contracté des subprime-mortgages bien réels.
Quand l’on pensera à remettre l’Homme au coeur de l’économie, monsieur Bernanke ferait bien de faire attention à ses fesses, il pourrait se voir asséner un coup de pied par “les ménages américains”.